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mardi 29 janvier 2013

Retour au Québec : Dimanche 19 Août 2012, second jour à Montréal. 1°) Le traversier Tandem 1.


Qui sait ? Peut-être un jour vais-je finir par rattraper mon retard ? Après un mois de Décembre 2012 et un début Janvier 2013 qui ont bien failli me rendre fou, j'ai actuellement un peu de temps pour m'occuper de mon blogue. Il n'est bien évidemment plus question d'une quelconque série historique pour le moment.

Continuons avec notre périple touristique à Montréal, à mon père et à moi, fin Août 2012.

Le lendemain de l'odyssée pédestre relatée dans les précédents articles, on prend les mêmes et on recommence. Direction le Vieux Port de Montréal pour prendre un traversier, le Tandem 1, qui démarrait deux minutes à peine après notre arrivée.

Pour aller où ? Sur l'Île Sainte-Hélène, face à l'Île de Montréal, pour voir un peu de verdure et admirer la ville depuis la rive opposée.

Départ donc, sous une chaleur acceptable et un grand ciel bleu.

Mon père sur le traversier, posant sous l'Unifolié, drapeau officiel de la Confédération du Canada. En arrière-plan, le Parc de la Cité du Havre et la baie du Vieux Port de Montréal. Nous sommes encore à quai.

En route. Les quais de Montréal. De gauche à droite : la Tour de l'Horloge, l'Héritage du Vieux Port de Montréal, l'Hôtel Delta (qui sont décidément moches quelle que soit la ville) et la Brasserie Molson.

Le Pont Jacques CARTIER. À droite, l'Île Sainte-Hélène et le célèbre parc d'attractions de La Ronde.

Vues de Montréal depuis le fleuve.

Et sinon, phénomène compréhensible mais impressionnant. Le Port de Montréal est abrité par une avancée, une péninsule, un bras de l'Île de Montréal, qui forme ainsi une baie. Sur ce bras, on trouve l'Habitat 67 et le Parc de la Cité du Havre au bout. Et quand dépasse la pointe formée par le parc, on arrive dans le véritable lit du Saint-Laurent. Et c'est là qu'on se rappelle que le Saint-Laurent est l'un des plus puissants fleuves d'Amérique. Le traversier doit naviguer à contre-courant s'il ne veut pas être emporté trop rapidement et dépasser son point d'arrivée sur l'île ! Car oui, le courant est suffisamment fort pour faire dériver rapidement le traversier, même en marche. Ne parlons pas des bateaux de plaisance. Et le pire, c'est que la limite entre les eaux calmes de la baie et les eaux tumultueuses du fleuve est très visible ! Voyez plutôt (vidéo personnelle, bien sûr).



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