Ca non plus, je ne m'en lasse pas. Et là, le spectacle était tout simplement grandiose ! Imaginez un peu toute la fonte du Massif des Laurentides qui se retrouve dans la Rivière Montmorency, laquelle se jette d'une hauteur de quatre-vingts-quatre mètres du haut du Bouclier Canadien jusque dans la plaine alluviale du fleuve Saint-Laurent... Je n'ose même pas imaginer le débit ! Et comme il y avait moins de vent que cette hiver, nous avons bien pu profiter de la passerelle. Par ailleurs, le grand escalier était ouvert, et c'est là que l'on a incontestablement le plus beau point de vue sur les chutes. Odile et moi avons tenté l'aventure de la descente sous les embruns pour voir les chutes d'en bas, et celle de la remontée épuisante (et toujours sous les embruns). Voyez plutôt !
Le plus impressionnant est encore de le voir en vidéo, aussi ai-je tourné quelques films. Le tout en un zoli montage !
Musique : par le Hollywood Cinemascop Orchestra.
1°) Dimitri TIOMKIN (1894-1979), "Do not forsake me Oh my darling", thème générique de "Le train sifflera trois fois" (1952).
2°) Elmer BERNSTEIN (1922-2004), "Les sept mercenaires" (1960).
3°) Ennio MORRICONE (1928- ), "Pour une poignée de dollars" (1964).
1°) Dimitri TIOMKIN (1894-1979), "Do not forsake me Oh my darling", thème générique de "Le train sifflera trois fois" (1952).
2°) Elmer BERNSTEIN (1922-2004), "Les sept mercenaires" (1960).
3°) Ennio MORRICONE (1928- ), "Pour une poignée de dollars" (1964).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire