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mardi 8 mars 2011

Lundi 10 Janvier 2011, Parc Aquarium de Québec, le retour !

Comme vous avez pu vous en rendre compte au lu de mes articles précédents, la semaine du séjour de Papa n'a pas été de tout repos, et c'est avec bonheur que j'entamais ma troisième (et dernière :() semaine de vacances. De cette première semaine de vacances, il n'y a rien de spécial à raconter sinon que j'ai flemmardé un maximum, ne prenant même pas la peine de mettre ce blog à jour. J'allais flâner aux centres commerciaux, à Québec (sans prendre mon appareil), je me suis plongé avidement dans "Le Cycle de Fondation" (1951-1992) d'Isaac ASIMOV (1920-1992) dont j'achève le premier tome (1.000 pages) cette semaine (et regrette d'avoir si peu de temps à consacrer à la lecture du second tome), j'ai accumulé les parties de Star Wars Battlefront avec Rémi via Internet, confirmant un record et en établissant un autre, bref : je n'ai rien foutu la Dolce Vita ! Et quoi qu'on en dise, ça fait du bien...
 
J'ai fini par me prendre par la main Lundi 10 Janvier 2011, jour officiel de la rentrée scolaire et universitaire, mais mes cours commencent en semaine le mercredi ^^. C'est donc par une belle et froide (-20°C.) journée ensoleillée que je tenais une promesse : JE SUIS RETOURNÉ AU PARC AQUARIUM DE QUÉBEC POUR VOIR LES OURS POLAIRES, et ça m'a coûté de nouveau 17$CAD.
 
Sous le ciel bleu, la zone paraît un peu moins sinistre, et les travaux à l'intérieur du parc sont désormais limités à la construction du nouveau pavillon tandis que la neige recouvre toutes les saletés d'un uniforme et magique manteau nacré. Les belles sculptures de sable ont laissé la place à de jolies statues de glace et aux tiges métalliques du Festi-Lumière. Et comme c'est la rentrée scolaire, c'est dans un bâtiment vide de visiteurs que je pénétrais, avec une batterie d'appareil photo chargée cette fois-ci. A tel point que je n'ai pas lésiné sur le déclencheur... Cent photos, beau chiffre pour deux heures et demi, non ? Remarquez également que je suis malgré moi sur de nombreuses images, merci les reflets...
 

Arrivé à l'ouverture à dix heures pour être sûr de ne pas rater la Collation des Ours, je flâne un peu au milieu des phoques et des morses, repère les ours blancs ensommeillés, et pénètre dans le bâtiment principal. Là encore, je suis le premier. Et, c'est bien connu, les poissons ont une mémoire d'éléphant. Or, j'étais sûrement le premier être humain qu'ils voyait depuis la veille, autant dire qu'ils étaient intrigués par cette espèce nouvelle et non identifiée ^^. Je peux vous assurer avoir douté un instant, devant les dizaines de paires d'yeux profonds et globuleux de la poiscaille étonnée collée aux vitres, ne sachant plus qui était l'observateur et qui était l'observé ! Je poursuivis mon bonhomme de chemin, photographiant (sans flash car les poissons n'ont pas de paupières) à tout va les bassins et aquaria. Un petit tour au vivarium dont les pensionnaires sont visiblement en hibernation, exception faite d'une couleuvre vipérine (espèce locale) qui se trouve toute contente de voir un peu d'animation et "me suit" durant les quelques minutes que je passe dans l'espace reptiles.
 
 
 
 
 
Tout ça pour en arriver au cœur même de ma visite, la Collation des Ours. Fier d'avoir mes gants cette fois, je dégaine ma caméra et entreprend de filmer intégralement le petit spectacle qui consiste à faire faire le beau aux animaux pour leur envoyer de la nourriture, comme je l'avais fait en automne avec les spectacles des phoques et des morses. C'était sans compter le facteur température, température qui chute encore de quelques degrés lorsqu'un vent polaire se lève soudain. Le froid paralyse les fragiles circuits de mon malheureux caméscope, sans autre conséquence qu'un arrêt du tournage et l'impossibilité d'éteindre l'appareil autrement qu'en en retirant la batterie. Rengainant la caméra, je sors mon appareil photo pour prendre quelques clichés de la fin du spectacle, parvenant à immortaliser la femelle debout.
 
 
Je m'en vais prendre à mon tour une collation à l'intérieur, autant pour me réchauffer que pour ausculter anxieusement ma caméra. Ben c'est pas si pire, tous les films y sont, même ceux qui se sont "bloqués", et on y voit le mâle se lever pour réclamer sa pitance, principal attrait du show. C'est donc la conscience tranquille que je sors du parc en accomplissant une deuxième promesse : ACHETER UN POSTER REQUINS. Et j'en fais une autre, je reviendrai une fin de semaine au soir pour voir le Festi-Lumière (c'est moins cher) illuminer toutes les sculptures et statues du parc.
 

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