Tout d'abord l'écureuil gris. Il peut aussi être noir, j'en ai croisé des deux couleurs mais je n'avais jamais mon appareil quand j'en croisais un noir. Promis, je corrigerai l'article dès que j'en aurai un dans la boîte ! Il court vite, 25km/h, peut laisser un bout de queue à un prédateur, et se trouve aussi bien en ville qu'en forêt (en atteste sa présence à l'Université Laval).
Ensuite, eh oui ! Vous aurez reconnu... la marmotte ! J'ignore si c'est typiquement local, mais j'ai photographié celle-ci... sur une butte de trois mètres de haut qui sert de terre-plein à l'Allée de l'Université ! Elle y a élu domicile au grand bonheur des étudiants qui passent. Elle se dore souvent la pilule au soleil sur la pierre à l'entrée de son terrier. Bon, c'est quand même farouche, impossible de s'approcher à moins de trois mètres. Et bien évidemment, défendu de siffler...
Pour finir, j'ai ENFIN réussi à photographier le petit animal dont je parle dans l'article sur le Parc National Jacques CARTIER, et surtout réussi à l'identifier. Ces bêtes-là, c'est tout ou rien. Ou ça court à cent à l'heure et ça disparaît dans la nature en deux bonds, ou ca se plante devant vous en vous regardant d'un air de dire "Eh ! Tu marches sur la feuille qui m'intéresse !". C'est comme ça que j'ai réussi à photographier celui-là, complètement par hasard, en allant en cours sur la Nouvelle-France, à quelques centimètres seulement de mon pied ! C'est un tamia rayé, surnommé "p'tit suisse" car (dit-on...) les rayures de son dos font penser à l'uniforme des Gardes Suisses du Vatican. Il n'existe pas en Europe, d'où mon ignorance à son sujet.
Il y a aussi des ratons laveurs, j'en ai vu un d'assez près mais je n'avais pas mon appareil ! Je ne désespère pas d'en recroiser un et de le photographier !
Et puis, des corbeaux et des mouettes en nombre, à faire pâlir d'envie Sir Alfred Joseph HITCHCOCK (1899-1980). Mais ces bestioles-là, vous connaissez !
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