Un acrostiche, j'ai eu du mal à l'écrire celui-là.
Puissiez-vous un jour, ô Maître des Océans,
Oser nous revenir afin de nous montrer,
Soulevant les flots et des abysses sortant,
Enfin votre puissance depuis lors oubliée.
Idéal magnifique que de croire en ce retour,
Dans ce monde moderne ainsi qu'avilissant,
Où vous, ô Cronide, et je le dis sans détours,
N'avez plus votre place fac aux Dieux de l'Argent.
Ô, flots donc délaissés, il vous reste pourtant
Certains défenseurs qui, faibles face aux puissants,
Espèrent malgré tout sauver ce qui peut l'être.
Ainsi, privés de Dieux et n'ayant que quelques-uns,
Non écoutés, pour aide ; il ne reste qu'à la fin,
Subtile et vaine attente, l'espoir du retour du Maître.
Oser nous revenir afin de nous montrer,
Soulevant les flots et des abysses sortant,
Enfin votre puissance depuis lors oubliée.
Idéal magnifique que de croire en ce retour,
Dans ce monde moderne ainsi qu'avilissant,
Où vous, ô Cronide, et je le dis sans détours,
N'avez plus votre place fac aux Dieux de l'Argent.
Ô, flots donc délaissés, il vous reste pourtant
Certains défenseurs qui, faibles face aux puissants,
Espèrent malgré tout sauver ce qui peut l'être.
Ainsi, privés de Dieux et n'ayant que quelques-uns,
Non écoutés, pour aide ; il ne reste qu'à la fin,
Subtile et vaine attente, l'espoir du retour du Maître.
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